Lola, petite grosse et exhibitionniste

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Bon, place à l’humour et à l’amour. Lorsque les deux sont réunis ça donne des livres de choc. Des livres à la Bridget Jones ou encore comme « Un homme s’il vous plait ». Dont je vous ait fait un article précédemment.

Après avoir lu plusieurs articles je me suis décidé à acheter « Lola, petite grosse et exhibitionniste ».

Couverture jaune pimpante et jambe croisées un peu potelé mais très sexy. J’adhérais complètement.

Ce livre c’est l’histoire d’une femme qui tombe éperdument amoureuse de son patron. Je pourrais même dire qu’il y a une sorte alchimie et attirance inévitable entre eux. Bon je sais ce que vous vous dites « ENCORE ! » Mais non cette histoire n’est pas comme les autres. Ce n’est pas un remake humoristique de 50 nuances de Grey, même s’il est bien question  de relation sexuelle torride.

Bon je vous livre bien évidemment mon avis.

J’ai apprécié la lecture de ce roman. J’ai toujours peur de tomber dans un truc peu chiant et lourd mais c’était vraiment sympa. Bon après il faut savoir que je ne suis pas une grande fan des scènes de sexe à répétition. Y a eu des moments où je me suis dit : « Bon c’est bon stop arrêtez de baiser merde ! ». Puis je me suis repris car si l’on efface tous ces passages, il y a une histoire assez surprenante dans tout ça.

Alors qu’on ne s’y attend pas du tout, le roman prend une toute autre tournure et se transforme en roman d’action sorti de nulle part. On peut penser que la collision des deux pourrait être excessive, mais étrangement ça donne un super sens au reste du livre. Je n’irais pas jusqu’à dire que j’ai adoré mais j’ai apprécié le lire. Plus de ce roman, l’auteur nous fait part du point de vu de Monsieur Jeremy le PDG.

Je lui mets la note 6/10

Résumé :

Moi, c’est Lola.

PETITE (pas tant que ça). GROSSE (NO COMMENT) et EXHIBITIONNISTE(mais jamais exprès!)

Auteur de romans érotiques la nuit, et le jour, assistante d’une chef aussi tyrannique que botoxée pour une grosse boîte new-yorkaise: jusque là, je ne m’en sortais pas trop mal- enfin, si on oublie le désert de ma vie sentimentale qui se résumait à des ponctuels tête-à-tête romantiques avec Jeannot-le-vibro.

Mais il a fallu que mon P-DG décède (l’égoïste) et que son fils débarque dans nos bureaux pour le remplacer. Joseph Hamlish n’est plus, vive Jérémy Hamlish! Alias M. l’héritier-et-fier-de-l’être, alias M. JE SUIS UN DIEU VIVANT-ou « gare à vos culottes » pour les intimes.

Et c’est là que tout c’est compliqué. Parce que moi, j’ai beau être une fille bien sous tous rapports, le jour où je me suis retrouvée dans un ascenseur avec l’incarnation de mes fantasmes, forcément, j’ai dépassé les bornes. Et le pire c’est qu’aujourd’hui, je n’ai qu’une envie : recommencer.

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